Mes plus sincères condoléances aux familles, aux amis et à toute la population de l’Isle-Verte endeuillée.
Comme tous les matins mon réveil a sonné. Comme un matin de juillet 2013 la radio annonçait un terrible drame.
L’horreur pour ces parents, grands-parents, membres de la famille et amis qui habitaient ce centre de personnes âgées.
L’horreur pour tous les intervenants de première ligne qui devaient combattre trois ennemis; le feu, le vent et le froid glacial.
L’horreur pour les journalistes comme François Drouin et ceux qui habitaient tout près qui ont tout vu et entendu…
J’ai une pensée pour chacun de vous.
Sous le choc et pourtant je suis à des lieux de vous, j’ai tout de suite eu une pensée pour toute la population et les jeunes. L’inquiétude de savoir si mamie ou papi, une grande tante ou un oncle sont vivants ou décédés.
On demeure toujours un enfant dans le cœur de ses parents. Peu importe ce que la vie ou la maladie puisse avoir confisqué de leur mémoire. Dans notre cœur d’adulte vit aussi ce cœur d’enfant…
Je n’ai jamais été à l’Isle-Verte.
Les souvenirs que j’ai de cet endroit viennent de ma mère qui avait visité ce « paisible endroit avec des gens tellement accueillant » comme elle le disait. Ce sont ses photos qu’elle avait prises qui m’ont permis d’apprécier toute la beauté de l’endroit. En cliquant sur la photo vous découvrirez cette belle région.
photo Aline Jestin extrait du site l’Isle-verte tourisme
À chacun de vous, au fil du temps, je vous souhaite de retrouver la sérénité qui vous habitait.
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À bientôt,
Lynne